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«Traduire l’espoir»

Wycliffe Suisse s’engage à «traduire l’espoir». Mais que signifie réellement cette expression? Qu’en est-il de l’espoir?

L’espoir peut être anéanti. Après de terribles conflits guerriers, les Israélites se sont retrouvés en exil à Babylone avec leurs familles dispersées. Ils ne savaient plus combien de leurs proches vivaient encore ni où ils se trouvaient, errant désorientés dans les ruines de leur monde anéanti.

Dieu leur parle dans cette situation par le prophète Jérémie (Jér. 30-33). Par sa Parole, Dieu a donné à ces hommes et femmes brisés et paralysés, la capacité d’imaginer un avenir là où cela semblait impossible. L’espoir, c’est le cadeau compatissant de Dieu aux êtres humains souffrants.

L’espoir, c’est la promesse de la vie là où on n’attend plus rien de la vie.*

Beaucoup de nos contemporains se trouvent aujourd’hui dans la même situation que les Israélites d’autrefois. Sans espoir, il n’est pas possible de vivre.

«Il nous faut du pain pour pouvoir vivre, il nous faut la Parole de Dieu pour vouloir vivre», disait un Nigérian, exprimant ainsi que la vie humaine nécessite plus que des calories.

Jésus disait la même chose:

«L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu», Matthieu 4.4.

Ce n’est qu’en Dieu que nous trouvons le véritable espoir et cet espoir nous rejoint par Sa parole. En contribuant à rendre la Parole de Dieu accessible à tous, nous ouvrons la porte de l’espoir à d’autres.

Dans le Rapport annuel 2017, nous vous racontons comment nous avons traduit l’espoir en 2017 avec votre aide:

 

Stulman, Louis. 2005. Jeremiah. Abingdon Old Testament Commentaries.